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Les Mills

CAP TONIC, précurseur du fitness haut de gamme

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CAP TONIC s’apprête à fêter ses 20 ans. Trois clubs de fitness brillent aujourd’hui sous cette enseigne à Versailles, Val d’Europe et Verrières-le-Buisson en région parisienne. À l’origine de ces temples du fitness, Gilles Moulet, humble précurseur qui a misé depuis longtemps déjà sur le succès d’un positionnement axé sur le service et qui fait figure d’exemple dans l’industrie. Il gère aujourd’hui le site de Verrières en collaboration avec Cathy Salinière.

En 2004, Gilles Moulet crée l’enseigne Cap Tonic. Il ouvre d’abord un club à Versailles puis très vite, un autre à Val d’Europe. En 2012, il rachète le club MAXI FORME à Verrières-le-Buisson qui passe sous l’enseigne Cap Tonic. Cathy Salinière arrive sur le site en 2013 en tant qu’instructeur de fitness. En 2014, elle devient manager fitness. Depuis un an, elle est directrice adjointe.

Dans quel contexte l’aventure Cap Tonic a démarré ?

Gilles Moulet : Cap Tonic est né en 2004, avec l’idée de s’orienter vers un positionnement haut de gamme qui privilégiait la qualité du service. On était au début des années 2000, période de transition importante dans l’industrie du fitness. À l’époque, il y avait une forte demande de la part des clients et une offre de clubs relativement faible. Les clubs généralistes n’avaient pas beaucoup d’efforts à faire pour que leurs établissements fonctionnent ! Peu à peu, le marché s’est élargi, les facteurs de motivation se sont diversifiés avec une orientation « santé » et « bien-être » importante qui a attiré d’autres publics. On a alors assisté à une segmentation du marché. Si l’industrie du fitness a connu cette transformation, ça a été aussi vrai pour l’hôtellerie, la restauration, le transport aérien, ferroviaire… C’est de cette transition qu’ont surgi de nouveaux concepts comme le low cost, les boutique gym, les studios de coaching, de yoga etc. avec deux orientations extrêmes : une orientation « prix » et une orientation « service ».

Chez Cap Tonic, en 2004, nous avions déjà su répondre à cette problématique en nous positionnant sur du haut de gamme avec une orientation premium. Certes, nous ne sommes pas les moins chers, mais nous nous adressons à des personnes qui sont disposés à payer le prix correspondant à la qualité du service que nous proposons.”

Qu’est-ce qui vous démarque des autres clubs ?

Gilles Moulet : “Notre souci permanent des attentes des clients, de leur bien-être, de leur confort, de leur satisfaction, nos efforts quotidiens pour leur faire vivre la meilleure expérience possible. C’est d’ailleurs comme ça qu’on les fidélise. Il y a vingt ans, on se contentait de mettre à leur disposition des équipements, des programmes de cours, du matériel… On ne se souciait pas précisément de leurs attentes. Aujourd’hui, ce sont les attentes des clients qui guident notre offre. Chez Cap Tonic, nous nous démarquons particulièrement grâce à notre proposition large et qualitative de cours collectifs. Dans notre environnement direct, nous n’avons pas de concurrence sur ce segment.”

Quel est le profil des clients ?

Gilles Moulet  : “Nous avons tous les âges, les plus jeunes ayant aux alentours de 16 ans avec une dominante de femmes sur un ratio 60/40%. Il s’agit d’une population CSP à dominante légèrement CSP +. C’est important de noter qu’un club premium ne s’adresse pas seulement à une cible CSP mais plutôt à tous ceux qui veulent une qualité de service et qui sont prêts à payer le prix correspondant, c’est une nuance importante.”

Comment se déploie votre offre de cours collectifs ?

Cathy Salinière : “Nous sommes passés d’un planning de cours 100% freestyle à un planning où dominent les programmes LES MILLS. Quand le club Maxi Forme a été repris en 2012 pour devenir Cap Tonic, il s’agissait d’un petit club de 700m2 dont on a doublé la surface. C’était l’un des plus anciens clubs de la région parisienne qui fonctionnait uniquement avec des cours freestyle. De véritables stars du fitness ont d’ailleurs enseigné dans ce club dont Stéphane Boisneault. La clientèle était assez âgée, entre 40 et 45 ans en moyenne. Grâce à l’implantation des programmes LES MILLS, la clientèle s’est élargie, a rajeuni même si nous avons su conserver les anciens clients. Évidemment, pour eux, ces changements ont été difficiles à accepter mais ils ont été finalement convaincus par la qualité des profs et des cours. Cap Tonic a toujours été précurseur sur les cours LES MILLS. En 1998, au club de Versailles, nous avons été les premiers à proposer du BODYPUMP. Aujourd’hui sur le club de Verrières, nous avons BODYPUMPSH’BAMRPMBODYCOMBATBODYBALANCEBODYJAMTHE TRIP Ciné et GRIT.

Avez-vous une offre small group et personal training ?

Cathy Salinière : “Nous venons de remettre à neuf l’espace dédié au small group training qui est accessible sur option pour ceux qui ont la carte premium. Nous développons également le personal training, qui est une activité très importante pour nous et qui est animée au club par des travailleurs indépendants.”

Côté innovations et nouvelles technologies ?

Cathy Salinière : “Nous avons mis en place l’application Cap Tonic. Les clients l’utilisent pour enregistrer leurs entraînements ou réserver leurs places en cours. Nous avons aussi l’appli SPIVI qui leur permet d’avoir un meilleur contrôle et suivi de leurs performances, et qui s’avère être un bel outil pour entretenir leur motivation. Nous avons également mis en place le circuit egym qui attirent les débutants comme les personnes confirmés. Côté équipements, nous avons la gamme Artis de Technogym, l’une des gammes les plus innovantes du marché. Et pour finir sur la partie innovation, nous avons refait le design de l’espace RPM pour que les participants soient encore plus en immersion dans le parcours.”

Que pensez-vous de l’accompagnement Planet Fitness Group ?

Cathy Salinière : “Nous en sommes satisfaits. Nous utilisons les outils de communication et marketing pour la promotion des programmes. Nos profs participent à tous les trainings days. La formation continue est importante pour nous, d’une part pour maintenir le niveau des cours au top mais aussi parce que c’est un excellent outil en interne qui permet aux profs de rester motivés.”

Une action concrète qui a bien fonctionné ?

Gilles Moulet : “La communication numérique a pris une grande place dans notre stratégie et nous investissons aujourd’hui dans de la publicité via Google Ads et Meta. Ce sont des budgets qui sont significatifs car le coût de ces campagnes est élevé. Mais nous continuons à consacrer une partie du budget aux outils de communication traditionnels. Tracts, affiches, panneaux Decaux, espaces publicitaires dans des magazines locaux, des associations sportives, ces outils ont encore leur importance… tout l’art étant d’arriver à trouver le bon équilibre entre marketing traditionnel et digital.”

Quel est votre dernier bon souvenir ?

Cathy Salinière : “La soirée d’Halloween organisée au club il y a deux jours qui a suscité un bel engouement collectif. Les coachs avaient préparé un spectacle, les adhérents ont participé aux cours déguisés et nous nous sommes réunis ensuite autour d’un buffet dans une ambiance conviviale. Équipes et adhérents, tout le monde a joué le jeu ! Ça fait partie des éléments essentiels de la vie d’un club comme le nôtre : créer et favoriser le lien social, ce qu’un club low cost n’est pas en mesure de faire. C’est aussi un argument majeur de fidélisation, c’est pour cela que tout au long de l’année, nous organisons un voire deux événements par mois. Les réseaux sociaux nous permettent d’en faire la promotion, avant et après, par le partage de photos et de vidéos.”

Des projets ?

Gilles Moulet : “Nous sommes en phase de réflexion pour les projets 2024. C’est important que le club évolue chaque année et propose une innovation importante, nous étudions donc les possibilités.”

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